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7e Dimanche du Temps Ordinaire
Lecture de l'?vangile
All?luia, all?luia, all?luia.
Hier, j'ai ?t? enseveli avec le Christ,
Aujourd'hui je ressuscite avec toi qui es ressuscit?.
Avec toi j'ai ?t? crucifi?,
souviens-toi de moi, Seigneur, dans ton Royaume.
All?luia, all?luia, all?luia.
Marc 2,1-12
Comme il ?tait entr? de nouveau ? Capharna?m, apr?s quelque temps on apprit qu'il ?tait ? la maison.
Et beaucoup se rassembl?rent, en sorte qu'il n'y avait plus de place, m?me devant la porte, et il leur annon?ait la Parole.
On vient lui apporter un paralytique, soulev? par quatre hommes.
Et comme ils ne pouvaient pas le lui pr?senter ? cause de la foule, ils d?couvrirent la terrasse au-dessus de l'endroit o? il se trouvait et, ayant creus? un trou, ils font descendre le grabat o? gisait le paralytique.
J?sus, voyant leur foi, dit au paralytique : " Mon enfant, tes p?ch?s sont remis. "
Or, il y avait l?, dans l'assistance, quelques scribes qui pensaient dans leurs c?urs :
" Comment celui-l? parle-t-il ainsi ? Il blasph?me ! Qui peut remettre les p?ch?s, sinon Dieu seul ? "
Et aussit?t, percevant par son esprit qu'ils pensaient ainsi en eux-m?mes, J?sus leur dit : " Pourquoi de telles pens?es dans vos c?urs ?
Quel est le plus facile, de dire au paralytique : Tes p?ch?s sont remis, ou de dire : L?ve-toi, prends ton grabat et marche ?
Eh bien ! pour que vous sachiez que le Fils de l'homme a le pouvoir de remettre les p?ch?s sur la terre,
je te l'ordonne, dit-il au paralytique, l?ve-toi, prends ton grabat et va-t'en chez toi. "
Il se leva et aussit?t, prenant son grabat, il sortit devant tout le monde, de sorte que tous ?taient stup?faits et glorifiaient Dieu en disant : " Jamais nous n'avons rien vu de pareil. "
All?luia, all?luia, all?luia.
Hier, j'ai ?t? enseveli avec le Christ,
Aujourd'hui je ressuscite avec toi qui es ressuscit?.
Avec toi j'ai ?t? crucifi?,
souviens-toi de moi, Seigneur, dans ton Royaume.
All?luia, all?luia, all?luia.
La prière est le coeur de la vie de la Communauté de Sant'Egidio, sa première "oeuvre". Au terme de la journée chaque Communauté, petite ou grande, se recueille en prière autour du Seigneur pour écouter sa Parole et Lui adresser son invocation. Les disciples ne peuvent pas ne pas rester aux pieds de Jésus, comme Marie de Béthanie, pour choisir "la meilleure part" (Lc 10,42) et apprendre de Lui les mêmes sentiments (Phil 2,5).
Chaque fois la Communauté, revenant au Seigneur, fait sienne la demande du disciple anonyme: "Seigneur, apprends-nous à prier" (Lc 11,1). Et Jésus, maître de prière, continue à répondre: "Quand vous priez, dites: Abbà, Père".
Quand on prie, même dans le secret de son propre coeur, on n'est jamais isolés ou orphelins; on est de toute façon membres de la famille du Seigneur. dans la prière commune apparaît clairement, outre le mystère de la filiation, également celui de la fraternité.
Les Communautés de Sant'Egidio répandues à travers le monde se rassemblent dans les divers lieux choisis pour la prière et présentent au Seigneur les espérances et les douleurs des "foules désemparées et abattues" dont parle l'évangile (Mt 9,36). Dans ces foules anciennes sont inclus les habitants des villes contemporaines, les pauvres mis aux marges de la vie, tous ceux qui attendent d'être pris à la journée (Mt 20).
La prière commune recueille le cri, l'aspiration, le désir de paix, de guérison, de sens et de salut que vivent les hommes et les femmes de ce monde. La prière n'est jamais vide. Elle monte incessante vers le Seigneur afin qu'il change les pleurs en joie, le désespoir en allégresse, l'angoisse en espérance, la solitude en communion. Et que le Règne de Dieu vienne vite parmi les hommes.
Pour les malades, à la mémoire des défunts, pour la paix
